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Newsletter - Juillet 2012

N°5 Juillet 2012

 

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NOUVELLE FRONTIERE
 
Depuis le rapport Lebatard-Sartre de 1997, nous avons mené de grands combats pour une reconnaissance politique, professionnelle, scientifique et universitaire de l’homéopathie et des médecins homéopathes. La création par la convention médicale de la Commission MEP (médecins à expertise particulière) est une étape importante de ce processus au long cours. Ses travaux ont commencé et notre responsabilité est de lui fournir des éléments visant à lui permettre de définir des critères d’identification et d’individualisation de la pratique homéopathique et des médecins homéopathes.
Parce que nous avons une formation spécifique, une expertise, une pratique quotidienne et une relation particulière avec nos patients, nous nous considérons naturellement comme des médecins homéopathes. Mais notre environnement institutionnel – Etat, caisses, université – a besoin de comprendre notre pratique à travers ses spécificités. Il nous appartient d’avoir une approche collective et quantifiable de notre exercice. Qu’est-ce qui le caractérise le mieux et qui soit repérable dans la base de données de l’assurance maladie ? La pratique clinique certes, mais seule la prescription de médicaments homéopathiques nous rend identifiables. D’où les réflexions que nous menons collégialement au niveau du Bureau : quels critères choisir à partir de la totalité des ordonnances d’un praticien pour distinguer le prescripteur occasionnel du médecin homéopathe? Nous avons fait une proposition dans ce sens à la commission: en dehors des prescriptions pour ALD, le fait d’avoir 40 % d’ordonnances comportant exclusivement des médicaments homéopathiques (donc sans prescription de médicaments allopathiques) nous permet d’identifier les médecins homéopathes. Nous affinerons ce pourcentage au fil des résultats.
L’enjeu de ce débat est important car les critères retenus détermineront le profil médico-économique des médecins homéopathes et leur place dans le système de santé. Une place que nous savons privilégiée et que nous mettons en avant depuis des décennies. C’est une nouvelle étape, une nouvelle frontière à franchir. A chacun d’y réfléchir. N’hésitez pas à nous faire part de vos idées ! (Lire la suite ...)

Dr Dominique Jeulin-Flamme
Présidente du SNMHF

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Newsletter - Juin 2012

N°4 Juin 2012

2012 : L’ANNEE DES (R)EVOLUTIONS

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2012 s’annonce-t-elle comme l’année des grandes révolutions en France et dans notre communauté homéopathique ? Nous pourrions être amenés à le croire car si, côté politique, les choses sont maintenant actées, côté homéopathique, l’université et la recherche ont fait un bond en avant.

REVOLUTION POLITIQUE ?


Un nouveau Président de la République, un nouveau Premier Ministre et un nouveau Ministre des affaires sociales et de la santé, Marisol Touraine, figure importante du PS qui devient l’interlocutrice des médecins. A quelle sauce allons-nous être accommodés ? A celle du plafonnement des dépassements d’honoraires comme elle l'annonçait lors de sa première intervention publique (voir ci-dessous) ?. La généralisation du tiers-payant était aussi au programme du candidat Hollande mais cette mesure - « marqueur de gauche » selon l’entourage du nouveau Chef de l’Etat - est moins facile à mettre en place qu’il n’y parait et avec des effets pas nécessairement mesurés. (Lire la suite ...)

Dr Dominique Jeulin-Flamme
Présidente du SNMHF

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Newsletter - Mars 2012


N°3 mars 2012

L'ANNEE DE TOUS LES DEFIS

En ce début de printemps, il y a une bonne et une mauvaise nouvelle.

La bonne est que, selon un sondage (voir actualité) réalisé pour les laboratoires Boiron, de plus en plus de Français ont recours à l’homéopathie et lui font de plus en plus confiance.


La mauvaise est la reprise de l’offensive contre le secteur II. Campagne électorale oblige, les politiques ont tous promis d’encadrer les dépassements d’honoraires. De son coté, le

directeur général de l’UNCAM a annoncé qu’il allait prendre des sanctions contre les médecins identifiés comme pratiquant des dépassements excessifs. Certains médecins homéopathes se trouvent déjà dans le collimateur des Caisses. Pas de panique : le SNMHF est là pour aider concrètement ses adhérents. (Voir dossier)

2012 n’est pas seulement l’année des élections présidentielles et législatives, c’est aussi celle de la fin de la procédure de qualification de spécialiste en médecine générale et de l’évolution du dossier de l’intégration du
Conseil national professionnel des Médecins à expertise particulière (CNP-MEP) dans la Fédération des spécialités médicales. Un dossier chaud que nous devons suivre.

Légitimés par les Français, reconnus par la Convention médicale, l’homéopathie et les médecins homéopathes ont encore de
lourds défis à relever. A la pointe de ces combats et de la défense de ses adhérents, le SNMHF sera d’autant plus fort que les médecins homéopathes seront nombreux à se reconnaitre en lui et rejoindre ses rangs. (lire la suite ...)

   
Dr Dominique Jeulin-Flamme
Présidente du SNMHF



La bonne est que, selon un
sondage (voir actualité) réalisé pour
les laboratoires Boiron, de plus en plus de Français ont recours à
l’homéopathie et lui font de plus en plus confiance.



La mauvaise est la reprise de
l’offensive contre le secteur II. Campagne électorale oblige, les politiques
ont tous promis d’encadrer les dépassements d’honoraires. De son coté, le
directeur général de l’UNCAM a annoncé qu’il allait prendre des sanctions contre
les médecins identifiés comme pratiquant des dépassements excessifs. Certains
médecins homéopathes se trouvent déjà dans le collimateur des Caisses. Pas de
panique : le SNMHF est là pour aider concrètement ses adhérents. (Voir dossier)



2012 n’est pas seulement l’année des
élections présidentielles et législatives 
c’est aussi celle de la fin de la procédure de qualification de spécialiste
en médecine générale et de l’évolution du dossier de l’intégration du
Conseil national professionnel des Médecins à expertise particulière (CNP-MEP)
dans la Fédération des spécialités médicales. Un dossier chaud que nous devons
suivre.



Légitimés par les Français, reconnus par la Convention médicale, l’homéopathie
et les médecins homéopathes ont encore de lourds défis à relever. A la pointe
de ces combats et de la défense de ses adhérents, le SNMHF sera d’autant plus
fort que les médecins homéopathes seront nombreux à se reconnaitre en lui et
rejoindre ses rangs. 

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Newsletter - Janvier 2012


N°2 janvier 2012

L'HOMEOPATHIE ET SON TRIPLE A

Avec la reconnaissance par la Convention médicale, l’homéopathie a conquis son triple A. Il lui reste maintenant à le conserver en relevant plusieurs défis comme l’ont montré les 1eres Assises du Médecin homéopathe (voir dossier ci-dessous). C’est le cas, en particulier, de la formation initiale et continue.

Au cours de son cursus, tout étudiant en médecine devrait acquérir des notions d’homéopathie, comme le demandait déjà le rapport Lebatard-Sarte de 1997 ! Les médecins homéopathes doivent être reconnus comme maître de stage parce que cela conforte l’homéopathie en tant que pratique médicale à part entière et parce que cela montre aux étudiants et aux internes la réalité de notre pratique, ce qui est de nature à susciter des vocations. Le DPC, le nouveau dispositif de formation continue, doit intégrer des programmes de formations en homéopathie pour permettre aux médecins homéopathes de trouver leur place dans cette nouvelle donne. Ces points – essentiels pour assurer le renouvellement et la crédibilité de l’homéopathie - ne sont pas acquis d’avance et le SNMHF s’investit aussi dans ces combats là (lire la suite ...)


Dr Dominique Jeulin-Flamme
Présidente du SNMHF

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SNMHF Syndicat National des Médecins Homéopathes Français
34, rue Laffitte 75009 PARIS - Tél.: 07 50 55 66 62

  Courriel : snmhf@club-internet.fr

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